LA TACHE D'ENCRE
Écrit en 2010
Édité chez Edilivre, août 2014
Réédité chez ELLA Editions en 2020.
Roman énigmatique / suspense
La tache d'encre a reçu
Un artiste peintre, Vincent Vidal, est en même temps professeur dans sa petite école d’arts plastiques. Deux de ses peintures sont achetées par un collectionneur lors d’une exposition à laquelle il participe avec quelques élèves. Vingt ans plus tard, la fille du collectionneur crée une fondation pour montrer les œuvres rassemblées par son père. Lors de l’inauguration, la peinture à l’encre l’Hymne au Soleil de Vincent Vidal disparaît. L’enquête qui est menée va faire ressurgir du passé du peintre des personnes qui étaient sorties de sa vie. L’œuvre disparue a généré des émotions, des sensations, des sentiments, des réactions diverses chez ces personnes mises en sa présence. Le seul fait de son existence a modifié la leur, à commencer par celle de son créateur.
Technique : Peinture numérique, que j'ai faite, dans le style d'une peinture à l'encre.
Représentation de l’œuvre de Vincent Vidal.
C'est une peinture à l'encre qui se nomme :
Hymne au soleil.
Elle lui a été inspirée par un poème d'Akhenaton.
Elle est décrite en début de roman.
La tache d'encre est à la fois l'histoire d'un artiste peintre et celle dune de ses œuvres, une peinture à l'encre. Cette peinture disparaît lors de l'inauguration de la Fondation dans laquelle elle est exposée. L'événement révèle un passé insoupçonné, datant d'une vingtaine d'année, qui aurait pu le rester. L'existence de l’œuvre a fait se croiser les destins des personnes qui se sont trouvées en sa présence : l'artiste qui l'a peinte, ses élèves, l'acheteur, les galeristes, les journalistes, les artistes de l'entourage...
Ce récit est une pure fiction. Très inspiré par mon milieu professionnel , il ne raconte ni ma vie ni celle d'un artiste que j'ai connu.
J'ai souhaité inventer un artiste et son style pictural, éloignés de ma propre personnalité avec cependant quelques traits communs tels ses sources d'inspiration et sa conception idéaliste de l'art.
Je préfère le qualifier de roman énigmatique plutôt que de roman policier. Bien qu'il y ait une enquête, les policiers ne sont pas les héros. On y trouve ni meurtre ni complaisance macabre.
J'ai écrit La tache d'encre pour parler du monde artistique que je connais bien puisque je suis artiste peintre professionnelle.
Pour explorer des directions que je n'ai pas suivies :
- Le style de peinture que j'évoque, la peinture à l'encre dans un style abstrait, qui est très éloigné du mien. J'ai surtout peint du trompe-l’œil, de la peinture murale, monumentale et
ornementale, puis maintenant de l'illustration et de la peinture numérique.
- Et le fait que l'artiste soit aussi professeur, activité que je n'ai jamais voulu exercer.
Pour écrire une histoire où l’œuvre tient une grande place, pas uniquement pour elle-même, mais pour les influences qu'elle peut exercer. Une création artistique n'est pas anodine. Elle est forgée de l'intention de l'artiste, de son savoir faire, de ce qu'il veut communiquer.
Ensuite, les spectateurs vont éprouver des ressentis, des émotions, des sentiments divers envers l’œuvre mais bien évidemment envers son auteur. La subjectivité influe sur leur compréhension et leurs appréciations. Quelles soient d'ordre culturel, social, intellectuel, affectif, passionnel...
Comme le peintre dont je parle, je suis passionnée par le pharaon Akhenaton, sa personnalité et son œuvre qui ont influé, entre autre sur le style artistique de son règne.